- LETTRE OUVERTE AU GOUVERNEMENT MAROCAIN.
Moi, Laila Daif marocaine née enfant de la république Française en 1972 des parents immigrés en 1970, dans un pays des droits de l’homme . c’est-à-dire que pendant 40 ans j’ai vécu avec la sensation d’etre une femme libre de pensée.
Car la première proclamation de la liberté d’expression date de 1776, date à laquelle les États-Unis adoptent leur Constitution. En France, la déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen (DDHC) de 1789 reprendra ce droit fondamental, qui relève de valeurs aussi bien laïques que démocratiques. La liberté d’opinion et d’expression est l’une des premières libertés politiques et plus généralement des libertés fondamentales. Dans la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, elle apparaît comme la première des libertés, la liberté y était le premier des quatre droits de l’homme. Elle est aussi garantie par la déclaration universelle des droits de l’homme. Messieurs du gouvernement J’ai décidé de vivre au Maroc depuis plus de 10 ans afin d’apporter ma maigre contribution à mon pays .
Allons nous devoir faire un choix?
Est-ce que tous les enfants d’immigrés vont devoir boycotter leur seconde patrie ?
Alors Moi, citoyenne marocaine, déclare mon refus absolu du projet de loi 22.20 .l’être ouvert